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L’idée de base était de tester des protections menstruelles plus écologiques pendant un cycle. J’ai choisi ce projet car les règles touche (presque) toutes les femmes et que je veux prouver que l’on peut avoir des « règles écologiques ». En effet, en faisant des recherches, je suis tombée sur le site « sistersrepublique » qui propose une multitude de protections écologiques et qui donne plusieurs chiffres importants. Je vais donc citer quelques chiffres pour vous permettre de mieux vous rendre compte du problème écologique derrière tout cela. Sur ce site jai lu, qu’en France, les femmes (de 13 à 50 ans) utilisent en moyenne 290 protections par an, soit plus de 11 milles unités sur 38 ans.

Pour mieux comprendre le lien avec mon projet, il est bon de savoir que le plastique est présent un peu partout dans les protections hygiéniques : emballages, applicateurs, fibres de polyester dans les serviettes ou les tampons, couches de polypropylène ou de polyéthylène imperméable dans les serviettes, bandes adhésives des ailettes, ficelles en polyester des tampons hygiéniques…

En plus de toutes ses matières néfastes pour l’environnement, les protections

hygiéniques nous touchent directement dans notre endroit le plus intime. Elles

sont remplies de substances indésirables est nocives pour notre santé. 

Même les tampons et serviettes hygiéniques dites « 100% en coton » présentent

souvent des traces de pesticides, d’herbicides ou même de produits toxiques et

cancérigènes. Et cerise sur le gâteau, 45 milliards de serviettes hygiéniques sont jetées chaque année dans le monde. 

Après l’avoir portée pendant un cycle, c’est une expérience que je conseille vivement! J’avais peur de me sentir mal à l’aise ou d’avoir une sensation « couche-culotte» mais pas du tout. Pour le coup c’est une vraie sensation de liberté. 
Voilà un exemple pour être écolo même pendant ses règles.